Ce passeport sanitaire numérique commun doit faciliter les passages de frontières sur fond de relance du tourisme. Mais il ne garantit pas la libre circulation au sein de l'Union, menacée par la progression du variant Delta.C'est le cadeau de l'Europe à ses concitoyens impatients de la parcourir à nouveau cet été, et à son industrie du tourisme pressée de rattraper le temps perdu. Le passeport sanitaire, déjà lancé dans de nombreux Etats membres , dont la France, devient européen ce jeudi 1er juillet. Son principe est simple : toute preuve de vaccination (par un des quatre vaccins reconnus dans l'UE), de test PCR ou de guérison du Covid-19 délivré par un Etat membre sera automatiquement reconnu par les 26 autres, ainsi que par la Suisse, l'Islande, la Norvège et le Liechtenstein
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